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Tuesday, April 25, 2017

La grossesse et l’allaitement ;

L’alimentation saine, Nutriments à éviter, Précaution à prendre, Compléments nutritionnels ;

Le rôle de vitamines et sels minéraux dans la phase de grossesse;

Le besoin énergétique pendant la grossesse et l’allaitement; 

La femme a besoin de 200 à 300 calories supplémentaires par jour pendant la grossesse, et de 600 à 1000 pendant l’allaitement. Les médecins prescrivent généralement une petite quantité d’acide folique au cours des premiers mois de la grossesse et des compléments de fer par la suite. Pour les autres compléments de sels minéraux ou de vitamines, il est essentiel de demander l’avis de médecin au préalable.

 Une alimentation saine :

Le régime alimentaire d’une femme enceinte ne doit pas être fondamentalement différent de celui qui est conseillé pour tout adulte, à quelques exceptions prés. L’apport en protéines doit être plus important pour assurer le développement du bébé et du placenta. Il faut en outre que l’alimentation soit suffisamment riche en vitamines et en sels minéraux surtout calcium et fer. Sinon ces nutriments feront défaut au bébé, qui ira les chercher la où ils se trouvent dans les tissus et les os de sa mère, créant ainsi un déficit dans l’organisme.

Nutriments à éviter :

·         Les excès de sucre.
·         Les excitants, surtout la consommation de thé et de café doit être limitée.
·         Le tabac et l’alcool.
·         Le foie, qui peut contenir trop de vitamine A.
·         les fromages au lait cru et les pâtés en raison des risques de listériose.

Précaution à prendre :

 Les précautions d’hygiène sont indispensables lors de la préparation des repas. Il faut laver soigneusement les crudités, bien faire cuire la viande, etc.

 Compléments nutritionnels :

·         Des compléments de vitamines et de sels minéraux peuvent être bénéfiques pour la mère et pour le bébé.
·         Le calcium et le magnésium sont nécessaires à l’activité musculaire y compris cardiaque, à la coagulation du sang et bon fonctionnement du système nerveux.
·         Ils sont la promesse de dents saines et d’os solides pour l’enfant.
·         Ils aident aussi à combattre le risque d’hypertension chez la mère, et peuvent atténuer les insomnies et les crampes.
·         Le fer joue un rôle essentiel au niveau des globules rouges de la mère et de l’enfant.
·         Outre les compléments prescrits par le médecin, il est bon de consommer des aliments renfermant du fer comme la viande, le poisson.
·         Le fer est mieux absorbé quand on mange en même temps d'aliments riches en vitamine C.
·         Le zinc contribue au bon développement du système immunitaire du bébé et prévient la formation de vergetures chez la mère.
·         Un déficit en sodium peut nuire au placenta, tandis qu’un excès peut entraîner une rétention d’eau et élever la tension artérielle.
·         L’iode est indispensable pendant la grossesse, et peut être fourni par du sel de mer ou du sel de table iodé, ainsi que par du poisson de mer.
·         Les besoins en acide folique sont doublés pendant la grossesse.
·         On sait qu’une déficience augmente les risques de spina-bifida et d’autres anomalies du système nerveux chez le fœtus.
·         Il faut donc prendre les compléments prescrits et consommer des aliments riches en acide folique surtout les légumes à feuilles en particuliers.
·         Les vitamines C, P, B6 et le béta-carotène sont nécessaires à plus fortes doses.
Les vitamines C et P contribueraient à la prévention des hémorroïdes et des varices.
Le but principal◄►Santé pour tous ☼ Environnement propre!

Sunday, April 16, 2017

Les besoins alimentaires à l’âge adulte ;

Le besoin alimentaire, chez la femme, chez l’homme, la femme enceinte, le risque de carence alimentaire, l’effet de la pilule,

Les aliments stimulants des hommes ;

Les compléments alimentaires sains;

Une alimentation est saine et bien adaptée, si elle apporte à l’organisme les sels minéraux, les vitamines, les glucides, les protéines et les lipides dont il a besoin. Notre mode de vie ne nous permet pas toujours d’adopter un régime parfaitement équilibré, un complément alimentaire peut alors se révéler utile.

 Les besoins alimentaires chez femmes :

Par rapport aux hommes, les femmes ont en règle générale besoin de moins de calories mais de presque autant de protéines et de plus de fer, surtout pendant la grossesse et en cas de règles abondantes.

Les risques des carences alimentaires :

Les régimes stricts que s’imposent les femmes qui veulent maigrir risquent d’aboutir à des carences lorsqu’ils sont fantaisistes ou non contrôlés par un médecin ou un nutritionniste. Ils peuvent en particulier faire baisser le taux de cholestérol à un niveau insuffisant, ce qui peut avoir pour effet de perturber le cycle menstruel, de diminuer la fécondité, de provoquer une ménopause précoce et de favoriser l’ostéoporose.

Les femmes enceintes :

Les femmes en phase de grossesse doivent être très attentives à leur alimentation, et toujours demander l’avis de leur médecin avant de prendre des compléments, car certains sont contre indiqués.

Les compléments alimentaires chez les femmes:

·         Les compléments le plus couramment prescrits chez les femmes sont le magnésium, le calcium, la vitamine D, le zinc, le cuivre et le manganèse, pour éviter une fragilisation des os.
·         La vitamine C et les vitamines B sont recommandées si le médecin estime que les apports alimentaires sont insuffisants.
·         Lorsque les règles sont abondantes, les pertes en fer et en zinc doivent être compensées.
·         Les femmes qui souffrent de douleurs menstruelles pourront prendre du magnésium et du calcium.    

Les effets de la pilule :

·         La prise d’une contraception orale sur long terme peut modifier sensiblement les besoins nutritionnels.
·         Les femmes doivent donc se composer un régime alimentaire de haute valeur nutritive, en mettant l’accent sur les légumes plutôt que sur les fruits si elles ont des problèmes de poids.
·         Les femmes qui prennent la pilule ne se voient pas en général proposer un supplément en fer, leurs règles étant habituellement peu abondantes.
·         Mais d’autres compléments sont parfois prescrits, car la contraception hormonale augmente les besoins en certains sels minéraux et vitamines, surtout le zinc, le sélénium, les vitamines B6 et B9 et le Bêta-carotène.  

Les besoins alimentaire chez les hommes :

Les hommes ont besoins de plus de calories que les femmes car leur taille et leur poids, en moyenne plus élevés, impliquent un métabolisme de base plus important. En outre, ils ont généralement une activité physique plus intense.

Les aliments stimulants des hommes :

·         Certains nutriments favorisent l’activité sexuelle et la fécondité.
·         Les vitamines A, C, E, F et l’acide folique sont essentiels à la production de sperme.
·         Le zinc et le magnésium sont nécessaires pour compenser les pertes de liquide séminal.
·         Le zinc, le sélénium et la vitamine B6 sont conseillés en cas de perte du désir ou de diminution de la vie sexuelle.
·         Les hommes qui songent à devenir pères dans un proche avenir devraient avoir une alimentation saine, et réduire, ou supprimer le tabac et l’alcool dans l’idéal quatre mois avant de procréer.
Ce laps de temps peut sembler long, mais il correspond au temps de maturation des spermatozoïdes.
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Saturday, April 8, 2017

Le besoin alimentaire spécifique d’adolescence ;

L’adolescence, besoins spécifiques, les garçons, les filles, la restauration rapide,

Le complément alimentaire pour l’adolescent; 

La phase d’adolescence ;

L’adolescence peut être un cap difficile à passer car les jeunes connaissent la mutation physique et psychologique très rapide. C’est souvent une période de changement des habitudes alimentaires, marqué par un abus de confiseries et d’aliments gras, ainsi que par une déstructuration des repas par grignotage. La pression sociale pousse certains jeunes, surtout les filles, à sauter des repas et faire des régimes pour rester minces. Ces modes d’alimentation entraînent des carences en protéines, en sels minéraux et en vitamines, avec toutes les répercussions que l’on image sur la santé physique, mais aussi sur l’humeur et le comportement.

Les cas des garçons :

En quelques années entre 12 et 17 ans en général, les garçons prennent environ 26 kg et grandissent de 26 cm. Ils ont besoins de protéines pour se bâtir une musculature et peuvent, s’ils sont très actifs, brûler jusqu’à 4000 calories par jour. Leur alimentation ne fournit pas toujours assez de sels minéraux et de vitamines, car ils dédaignent souvent les fruits et les légumes.

Les cas des filles :

Entre 11 et 15 ans environ, l’adolescente grandit d’environ 23 cm et grossit de 21 kg. Pour des questions d’apparence, surtout le poids, les carences nutritionnelles sont plus fréquentes chez les filles que chez les garçons. En outre, les cycles menstruels déclenchent parfois un besoin accru en fer et en zinc. Des règles irrégulières et douloureuses peuvent d’ailleurs s’expliquer par des déficiences nutritionnelles. Il arrive que la pilule soit prescrite dans ce cas, il faut savoir qu’elle accroit aussi les besoins de l’organisme en certains nutriments.

La restauration rapide :

Une alimentation à base de sandwiche, de hamburgers, de sucreries et de sodas apporte trop de sel, de graisses et de sucre, et n’est pas assez riche en fibres, en protéines, en sels minéraux et en vitamines.

Les besoins spécifiques de l’adolescence :

·         Beaucoup de minéraux sont indispensables à la croissance.
·         Les os ont besoin de calcium et de vitamine D qui permet à l’organisme de fixer le calcium, et peut faire défaut chez les adolescents qui n’absorbent pas assez de graisses, mais aussi de magnésium, de Bore, de vitamine K, de zinc, de cuivre et de manganèse.
·         Le phosphore est également nécessaire, mais l’apport alimentaire est toujours suffisant.
·         Laisser s’installer une carence au niveau des os de l’adolescence peut augmenter le risque d’ostéoporose plus tard.
·         L’apport de zinc, de manganèse, de chrome et de sélénium est parfois déficitaire dans une alimentation peu varié.
·         Les vitamines C et P peuvent manquer si l’adolescent ne mange pas assez de fruits et de légumes frais.
·         L’apport en vitamines B tombe facilement aux besoins du niveau recommandé.
·         Or, ces vitamines sont très importantes, surtout en cas de traitement antibiotique contre l’acné et chez les jeunes filles qui prennent la pilule.
·         Le zinc, la vitamine A et la vitamine F, en particulier les acides gras omégas 3, sont conseillés chez les jeunes qui présentent des problèmes de peau.
·         Enfin, les adolescents, et surtout les jeunes filles qui ont des règles très abondantes, ont des besoins accrus en fer.

Les compléments alimentaires :

Les compléments ne dispensent pas d’avoir une alimentation saine et variée. En effet, il existe dans la nourriture des composants indispensables à notre organisme et non encore identifiés, qui ne se trouvent donc aucun complément alimentaire.
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Monday, March 20, 2017

Les types des drogues et leurs effets;

Les drogues, cannabis, cocaïne, héroïne, amphétamine, MDMA/Ecstasy, GHB, Kétamine, Hallucinogènes/LSD et analogues ;

Les drogues et leurs effets, symptômes, conséquences ;

L’identification un usager des drogues:  

Les parents qui soupçonnent que leur adolescent prend des drogues peuvent avoir des difficultés à reconnaître les symptômes physiques de l’intoxication. Voici les signes visibles permettant d’identifier un usager ;  

Le cannabis :

Lorsque le cannabis est fumé, il produit des effets quasi installés sur le cerveau. La personne intoxiquée au cannabis pourra présenter divers symptômes, comme rougeur des yeux, éclats de rire spontanés, légères difficultés motrices. Il est fréquent que l’usager ressente une faim intense, car le cannabis peut causer l’hypoglycémie, il peut avoir l’apparition de paranoïa, anxiété, hallucination. Le cannabis peut entraîner une dépendance modérée chez certains usagers et sa consommation à long terme a des effets indésirables. Le consommateur abusif deviendra apathique, en passif, ses intérêts et son ambition diminueront et son rendement scolaire ou professionnel en sera affecté. Le cannabis provoque des déficits d’attention, de concentration ou des trous de mémoires. Son usager expérimentera une diminution marquée de son libido. Le cannabis peut être l’origine de problèmes cardiovasculaires, car il contient plus de goudron que de tabac.  

La Cocaïne :

La cocaïne est une stimulante majeure du système nerveux central. Elle comporte de forts risques de dépendance, qui seront accrus si l’usager s’injecte, la drogue ou la fume sous forme de crack ou de base libre. La cocaïne provoque une euphorie intense chez le consommateur, en raison de son action sur les neurones dopaminergiques, qui sont responsables des sensations de plaisir. Cette drogue permet également à l’usager de se maintenir en état d’éveil. Une personne qui a pris de la cocaïne sera euphorique, souvent très loquace et énergique. La cocaïne occasionne une dilatation des pupilles, une augmentation du rythme cardiaque et parfois des tics nerveux. Les consommateurs réguliers risquent d’avoir la perte de poids en raison de l’effet anorexigène de la substance. Ainsi les fumeurs pourront présenter des blessures à la bouche et caries dentaires, tandis que ceux qui la prisent par voie intra nasal auront des problèmes de congestion ou écoulements nasaux. La consommation de cocaïne peut causer un épuisement de la réserve en neurotransmetteurs de l’usager, et il sera risqué d’avoir de la difficulté à ressentir du plaisir, car son cerveau ne produit plus assez de dopamine. C’est une des raisons pour lesquelles il peut être difficile de renoncer à la cocaïne. L’usage de cocaïne peut être associé à un risque plus élevé de contracter des infections transmissibles sexuellement. Un surdosage à la cocaïne occasionnera des troubles cardiaques, une dépression respiratoire et des convulsions. La cocaïne est la drogue qui cause le plus de décès par surdosage.

Les Amphétamines :

Les symptômes d’intoxication aux amphétamines sont souvent très semblables à ceux qui caractérisent l’usager de cocaïne. Les deux drogues appartiennent à la même catégorie, des stimulants majeurs et stimulent les neurotransmetteurs, même si les mécanismes d’action sont un peu différents. Les jeunes consomment les stimulants de type amphétaminique sous forme de comprimés par voie orale. La consommation d’amphétamines a pour effets d’augmenter l’énergie, d’accroître la capacité à effectuer des tâches simples affectées par la fatigue, de donner une impression de plus grande force physique et acuité intellectuelle et de provoquer une certaine euphorie. Les personnes sous amphétamines présenteront des pupilles dilatées et une bouche sèche, auront parfois des tremblements et leur respiratoire pourra être plus rapide. Une consommation d’amphétamines occasionne souvent une perte de poids. Les consommateurs de ce type de substances ont des risques d’expérimenter une psychose toxique, état caractérisé par des hallucinations, des délires de grandeur ou de persécution et des comportements hostiles et violents. 

La MDMA/Ecstasy :

La MDMA ayant une structure chimique similaire à celle des amphétamines, les consommateurs peuvent présenter des effets d’euphorie, sensation d’éveil, etc. Cette drogue a des propriétés hallucinogènes, et des effets que n’ont pas les autres dérivés amphétamines, elle agit sur les perceptions et favorise des comportements sensuels et engendre le besoin de se rapprocher des autres, et de communiquer. Les symptômes incluent la dilation des pupilles, une soif intense, la transpiration, l’augmentation du rythme cardiaque, l’apparition de légers tics moteurs et la rétention urinaire. Paradoxalement, MDMA, la drogue de l’amour, a souvent pour effet de diminuer la libido et de nuire l’excitation sexuelle et à l’attente de ‘orgasme. 
Les conséquences sont que le consommateur à long terme risque de devenir déprimé, de perdre du poids et de développer des problèmes de peau.

Le GHB :

Le gamma hydroxybutyrate est un dépresseur du système nerveux centrale au même titre que l’alcool. Ses effets aigus aux doses usuelles ressemblent beaucoup à ceux présentés par quelqu’un qui aurait bu un verre de trop. Environ une dizaine de minutes après avoir absorbé une dose usuelle de GHB, le plus souvent par voie orale, le consommateur sera désinhibé, insouciant, parfois euphorique. Cette drogue, à forte dose, peut induire la somnolence et nuire à la coordination des mouvements. Elle peut aussi être à l’origine de pertes de mémoire et d’étourdissement pouvant durer jusqu’à quelque jour après un épisode de consommation.

La Kétamine :

La kétamine est généralement consommée par voie intra nasale. Les effets commencent à sentir moins de cinq minutes après la prise et durent environ une heure. Avec de faibles doses, l’usager ressentira des effets légèrement psychédéliques et aura l’impression d’être dans un rêve. Les plus fortes doses entraînent la dissociation et la disparition des sensations corporelles. L’usager peut alors avoir l’impression de ne plus être à l’intérieur de son corps. Les symptômes ; parmi les effets de la kétamine la difficulté d’élocution, des troubles moteurs allant jusqu’à la paralysie temporaire, une réduction du rythme respiratoire et une augmentation de la pression sanguine et du rythme cardiaque. Vu le mode de consommation, il arrive que l’usager saigne du nez. La conséquence est que la kétamine peut occasionner des trous de mémoires. L’individu qui consomme de la kétamine de façon chronique risque de développer une dysfonction importante de la mémoire, des troubles de l’attention et une altération de la vision.

Les Hallucinogènes/LSD et analogues :

Les symptômes sont qu’on peut soupçonner qu’un individu a consommé des hallucinogènes lorsqu’il apparaît désorienté et complètement déconnecté d’avec la réalité. Tremblements, frissons, dilatation des pupilles et troubles de coordination peuvent être des indices potentiels. Les hallucinogènes, dont font partie le LSD et les champignons à la psilocybine, ne semblent pas occasionner de dépendance physique. Il arrive que certains sujets présentent une dépendance psychologique, mais il ne s’agit pas de la majorité des consommateurs. Des très fortes doses de ces substances peuvent provoquer des convulsions, de l’hyperthermie ou une arythmie cardiaque. Il est noté plusieurs cas de suicides où ces drogues étaient en cause. 
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Tuesday, March 14, 2017

Les méfaits des drogues ;

Les drogues chez les jeunes, les majeures causes de la prise de drogue, les effets de la drogue ;

Les risques de prise régulièrement des drogues

Les effets des drogues ;

La drogue est une substance qui, une fois absorbée, modifie une ou plusieurs fonctions du système nerveux central. Elle peut avoir des effets sur les pensées, les émotions, les comportements, l’humeur.
Autre définition, toute substance produisant un état de dépendance est considérée comme une drogue, c’est-à-dire l’alcool, le tabac, le cannabis, l’héroïne, la cocaïne …etc. on parle aussi de substances psycho-actives car elles agissent sur le cerveau, modifient l’activité mentale, les sensations et le comportement. L’usage de ces produits représente des risques et des dangers pour la santé du usager et peut avoir des conséquences sociales et engendrer une dépendance psychique et ou physique. Cette consommation peut aussi entraîner des accidents graves parfois mortels.

Les drogues chez les jeunes :

Quels que soient les contextes socioculturels, l’adolescence est une période privilégiée de quête et d’expérimentations nouvelles propices à l’adoption de comportements à risque. La consommation de drogue appartient à cette panoplie de comportements dont les adolescents sont particulièrement friands.

Les majeures causes de la prise de drogue :

Il y a certaines causes principales socio-affectives qui peuvent en partie expliquer la consommation de la drogue par l’adolescent ;
a)    Le sentiment d’abandon consécutif au divorce des parents, ou associé à un délitement familial.
b)   La difficulté de trouver un sens à sa vie et à la vie en général.
c)    La volonté de transgression plus forte que l’interdit, parfois encouragée par un entourage trop hostile à l’adolescent.
d)   Souhaiter s’intégrer à un groupe, réduire les tensions psychiques, attirer l’attention des parents, sont des motivations fréquentes de l’adolescent qui passera à l’acte.
e)    Moins que le jeune dispose en effet de moyen de construire ses propres repères, plus que les risques de prise de drogues sont grands.

Autres raisons qui poussent les jeunes à prendre la drogue ;

1)   Avoir du plaisir ;
2)   Faire comme les autres ;
3)   Epater ses amis ;
4)   Faire des expériences nouvelles ;
5)   Défier l’autorité ;
6)   Provoquer les adultes ;
7)   Eviter l’ennui ou la solitude ;
8)   Se défouler ;
9)   Combattre la timidité ;

Les effets de la drogue :

Selon les individus, la quantité absorbée ainsi que la composition du produit, les symptômes peuvent être différents ;
a)    L’augmentation ou la diminution du rythme cardiaque comme des fortes palpitations du cœur ;
b)   L’apparition des yeux rouges à cause d’activité sanguine plus accrue.
c)    La bouche sèche, diminution de la sécrétion salivaire.
d)   Une vive sensation de nausée conduisant parfois à des vomissements.

Les risques d’une consommation régulière :

Les risques de consommation de drogue à long terme incluent l’apparition progressivement :
a)    Des difficultés de concentration, des problèmes scolaires.
b)   Des soucis orientés sur l’envie de consommer du cannabis, mais aussi de s’en procurer.
c)    S’en suit une baisse de la motivation et isolement social.
d)   Les risques impliqués de cela sont de posséder des produits illégaux
e)    Des sujets plus sensibles sont que les produits vont provoquer ou aggraver les troubles psychiques tels que l’anxiété, l’état de dépression.
f)     Chez certaines personnes sensibles, il peut engendrer l’apparition d’une psychose cannabique, car une seul inhalation ou bouffée peut suffire à conduire la personne à l’hôpital.
g)   Il peut être aussi l’élément déclencheur de maladies bien plus graves chez sujets prédisposés tels que schizophrénie ou paranoïa.
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Sunday, March 5, 2017

Les progrès alimentaires de l’enfant ;

L’apprentissage du goût de l’enfant, premières années d’école, des idées qui plaisent, compléments alimentaires ;

L’assurance de l’énergie et la croissance d’un enfant;

L’alimentation d’un enfant de deux à douze ans ;

Les progrès de l’enfant sont très rapides entre deux et douze ans.
Une alimentation équilibrée est essentielle durant cette période, pour accompagner sa croissance physique et pour lui permettre d’exploiter tout son potentiel intellectuel. C’est grâce à ses parents que l’enfant acquiert de bonnes habitudes alimentaires et se familiarise avec de nombreuses saveurs. Inciter à manger des fruits ou des laitages plutôt qu’à grignoter des sucreries, des biscuits salés ou des aliments gras fait partie intégrante de l’éducation que les parents doivent prodiguer à leurs enfants, voir le besoin alimentaire de l’enfant.

L’apprentissage du goût :

Entre 1 à 2 ans, l’enfant commence à avoir une préférence alimentaire et à rejeter tel ou tel plat. Certains enfants traversent des périodes durant lesquelles ils refusent toute nourriture. Même si une telle attitude inquiète les parents mais ils doivent se garder de transformer les repas en conflits. Il faut continuer à donner aux enfants ce qui est bon pour eux, en évitant de les acheter ou de les récompenser à coups de sucreries. Le goût de petit peut changer assez vite, c’est pourquoi il ne faut pas hésiter à lui présenter de nouveau, au bout d’un certain temps, des aliments ou des plats qui lui avaient déplu au premier abord.

Les premières années d’école :

 C’est le moment de sensibiliser l’enfant à ce qu’est une bonne alimentation, en l’intéressant à l’élaboration de menu et à la préparation des repas. Il est reconnu que l’enfant travaille mieux en classe s’il a pris un petit déjeuner équilibré. En effet, si le premier repas de la journée consiste uniquement en aliment sucré, l’énergie fournie s’épuise vite. L’idéal est de lui donner de céréales et fruits secs sans sucre ajouté, avec du lait ou yaourt. Après l’école, une goûter copieux mais peu sucré s’impose surtout avec une ou deux tranches de pain légèrement beurrées ou tartinées de miel, des fruits y compris des fruits secs, ainsi que du lait ou laitage, ces sont indispensables pour la croissance.

L’assurance de l’énergie et la croissance :

L’enfant a besoin de glucides pour l’énergie et de protéines pour la croissance. Les apports nécessaires dépendent du poids de l’enfant, de son activité et aussi de sa forme, un enfant peut manger moins pendant quelques jours et se rattraper largement ensuite.

Des idées qui plaisent :

Des hamburgers avec un petit pain complet, de la viande hachée, des crudités et de la sauce tomate.
Des pommes de terre en robe des champs avec du fromage blanc aux fines herbes.
Une pizza maison avec de la pâte à pain complet garnie de légumes frais, de fromage et de jambon.
Des pâtes fraîches avec une sauce tomate maison, des champignons et de la viande hachée.
Des crêpes faites avec de la farine complète.
Servies avec du miel et des noix hachées.

Les compléments alimentaires :

Normalement, une alimentation saine et équilibrée suffit à combler les besoins en sels minéraux et en vitamines des enfants. Seule la vitamine D peut être prescrite jusqu’à l’âge de cinq ans. Les parents qui souhaitent malgré tout donner des compléments alimentaires à leurs enfants doivent au préalable consulter leur pédiatre ou médecin de famille et suivre scrupuleusement sa prescription.
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Wednesday, February 22, 2017

Les besoins alimentaires de l’enfant;

Le lait maternel, lait infantile, lait à choisir, premiers aliments solides, compléments alimentaires ;

L’alimentation variée et équilibrée ;

De la naissance à deux ans ;

Les bébés ont besoin d’une alimentation saine pour bien grandir et rester en bonne santé. La connaissance dans le domaine de la nutrition indique qu’une alimentation adoptée n’est pas seulement indispensable à la croissance, car elle joue un rôle majeur dès la naissance dans la maturation du cerveau et le développement psychomoteur du jeune enfant.

Le lait maternel :

Dans les jours qui suivent l’accouchement, la glande mammaire produit un liquide appelé colostrum. Cette substance riche en anticorps stimule le système immunitaire du nouveau-né, qu’elle prépare à lutter contre les infections. La monté laiteuse se produit au bout de quelques jours, grâce à sa haute teneur en graisse et en vitamine E, nourrit les cellules du cerveau et renforce le système immunitaire du bébé. La quantité de nutriment présent dans le lait maternel évolue pour s’adopter aux besoins du nourrisson. Une mère qui s’alimente bien fournit en général à son enfant la totalité de nutriment nécessaire pendant les six premiers mois.

Le lait infantile :

C’est en s’inspirant de la composition du lait maternel que l’on a pu améliorer la qualité de lait infantile en ajoutant des vitamines ou des sels minéraux ou en choisissant des protéines adoptées.

Le lait à choisir :

Après le lait infantile vient le lait de suite, vers neuf ou dix mois. A partir de deux ans, un lait demi écrémé, enrichi en nutriment, convient si l’enfant n’a pas de problème de croissance. Les nutritionnistes déconseillent le lait écrémé, car il contient trop peu de calories et de vitamines liposolubles.

Les premiers aliments solides :

 Les premiers aliments solides à donner aux bébés sont des fruits et des légumes cuits mixés, ainsi que de céréales spécifiques comme la bouillie sans gluten, en évitant de la saler ou de la sucrer à l’excès. Jusqu’à première année, l’appétit du bébé augmente rapidement. Et après, il se stabilise, en même temps que la croissance se ralentit. A peu près à la même période, l’enfant commence à manifester ses goûts et ses dégoûts. Mieux vaut ne pas créer de conflit au moment de repas en tenant de lui imposer des plats qu’il refuse. Cela dit, il est important de varier son alimentation et de l’habituer à consommer des aliments riches en nutriments essentiels plutôt que des sucreries.

Les compléments alimentaires :

La plupart des médecins prescrivent des compléments de vitamine D pour prévenir le rachitisme, en prise quotidienne jusqu’à l’âge de deux ans, puis en une prise annuelle à l’entrée de l’hiver jusqu’à l’âge de cinq ans. Ainsi les pédiatres recommandent aux parents de donner un peu de fluor chaque jour à leur enfant pour prévenir la formation ultérieure de caries. Il est essentiel de bien suivre les instructions et la posologie du médecin. Car tout excès peut se révéler nocif. Pour  le reste et chez un enfant en bonne santé, une alimentation variée et bien équilibrée couvre tous les besoins nutritionnels. 
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Friday, February 17, 2017

La Saturation des Satellites dans l’Espace;

L’homme et l'environnement, la course vers l’espace extérieur;

Le rôle humain dans la pollution d'espace;

Les avantages et les inconvénients des Satellites;

L’espace extérieur, entourant la Terre, témoin aujourd'hui une invasion inégalée par l’homme, ce qui va produire inévitablement des dévastations considérables dans l’environnement spatial, et ceci peut être pas d'anticiper par beaucoup de gens. L'environnement extérieur sera contaminé, comme cela de terrestre en raison de l'activité humaine dévastatrice. Car il y a une course entre les nations pour armer cet espace avec des satellites dont nous contrôlons aujourd'hui, mais ce ne pas évident que nous pouvons les contrôler demain. Particulièrement, si l'espace extérieur est entassé de ces appareils, et surtout quand ils sont amortis. Ces appareils seront approchés lentement à l'atmosphère terrestre, et puis certains d'entre eux vont se transformer en météorites et météores tandis que des autres tomberont sur le sol au-dessus des têtes de ses habitants, faisant la destruction massive.

Lancement de cent quatre satellites à la fois:

Dans ce quatorzième jour de Février 2017, L'agence de recherche spatiale indienne 
a tiré une fusée transportant cent quatre satellites en seul coup dans l'espace 
pour ajouter ces satellites à des centaines de satellites dans la zone extérieure 
à l’entourant de la Terre. Cette passionnante course se poursuivra sans fin. 
Et demain une autre agence va lancer des centaines de satellites en même temps 
et la zone spatiale de notre terre sera inévitablement remplie avec ces appareils satellitaires. 
Quand la plénitude déborde à double où ces objets exotiques s’entreront en collision 
et se fusionneront les uns aux autres, et pourront avoir formé un noyau qui commencera 
à se grandir peu à peu à être transformé en un nouvel objet en orbite autour de la Terre 
et aura un impact direct sur les vivants de la terre;

Rôle humain dans la pollution environnementale:

L’homme après avoir pollué les environnements terrestres et presque en les transformant à des environnements invivables, voici ainsi il envahit aujourd'hui l'espace, et va le convertir également dans un environnement qui ne protège pas la vie terrestre, mais au contraire contribuera à la perte de la vie dans la terre.

Avantages et inconvénients des appareils dans l'espace:

L'utilité de ces appareils placés dans l'espace a des très grands bénéfiques, 
mais les dommages causés par l'utilisation non rationalisée sont aussi très graves, 
réfléchissez bien et gardez l'œuvre de Dieu;


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Bonne chance