Des espèces de plasmodium ;

L’élévation de la température favorise le développement du plasmodium falciparum

Quelle espèce de plasmodium est plus dangée

La définition: 

Le paludisme est une maladie des globules rouges, provoquées par un parasite, un hématozoaire du genre plasmodium, transmis par les moustiques du genre Anophèle. Il y a quatre espèces de plasmodium, mais seulement le type plasmodium falciparum cause des accidents responsables des forts taux de mortalité. Alors, qu’il est mortel dans certaines conditions, notamment dans la première attaque, après la contamination, surtout chez les enfants jeunes, ou chez les personnes immigrées de fraiche date en zone à plasmodium falciparum. C’est donc l’accès pernicieux qui peut mener au coma et à la mort, lorsque le traitement est trop tard ou pas du tout, paludisme est véritable fléau.

La transmission: 

Dès que l’anophèle femelle pique un individu atteint de paludisme, il absorbe son sang qui contient des germes mâles et femelles appelées gamétocytes. Dans le tube digestif d’anophèle, ces germes se transforment en sporozoîtes, qui seront inoculés dans le sang du nouveau sujet piqué, avec la salive de l’insecte. Les sporozoîtes pénètrent facilement, dans les cellules du foie. Pendant une ou deux semaines, ils se multiplient, subissent une nouvelle transformation et passent dans le sang, en parasitant les globules rouges, qui éclatent en produisant des substances toxiques, causes de la fièvre de l’accès paludéen ou bien prennent une forme de croissant et persistent dans le globule rouge sans se diviser.

Autres causes indirectes: 

La propagation du paludisme, se fait à partir d’un sujet infecté par l’anophèle. Mais dans les régions où le paludisme existe à l’état endémique et latent, les populations arrivent à résister au parasite, parce que les germes primitifs restent dans le sang, sans pouvoir évoluer, mais il suffit d’une simple raison, comme affaiblissement de l’organisme pour que les germes se développent et que la crise grave se déclenche. Un foie défient ou infesté de virus, des troubles digestifs comme les coliques, constipation, diarrhées vomissement qui s’accompagnent de fièvre favorables au développement de l’accès palustre, car l’élévation de la température favorise le développement du plasmodium falciparum. Il faut noter que la mauvaise hygiène alimentaire est l’une des facteurs de perturbation des fonctions du foie. L’exposition au froid, à la forte chaleur, nocive pour le foie, ainsi que la fatigue excessive, le surmenage, l’usage des excitants et les repas trop copieux peuvent, après la première infection paludéenne, occasionner des crises intervalles réguliers pendant plusieurs années.

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