Il existe trois formes principales de l’accès pernicieux
Le paludisme chronique;
La fièvre intermittente simple:
Il y a trois phases de fièvre intermittente simple, notamment, la phase d’invasion, la phase d’état et la phase de résolution, voir comment soigner la fièvre.La phase d’invasion:
Dure trois à cinq
jours. Cette phase est caractérisée par des symptômes et des signes trompeurs,
comme embarras gastriques, fièvre, maux de tête violents, vomissements,
nausées.
La phase d’état:
Se traduit par une extrême
fatigue, une sensation d’intense froid, mais d’assez courte durée avec des frissons, puis des sensations de chaleur,
accompagnée avec fièvre élevée, une température montant jusqu’à 41ºC, parfois
des sueurs abondantes, des maux de tête martelants et insistants. Lors de la
crise, le foie est gros, sensible, la rate est anormalement développée. Le
malade montre souvent une légère confusion mentale, des urines rares et jaunes,
le teint pâle, dû à l’anémie.
La phase de résolution:
A la
fin de la crise. La fièvre tombe, la transpiration abondante, le malade éprouve
une sensation de bien. Cette phase dure de cinq à sept jours et doit être vite
traité, sinon elle peut conduire à l’accès pernicieux.
L’accès pernicieux:
Dure trois à quatre jours et il se
survenir, soit après un accès ordinaire chez un paludéen, chronique dont la
résistance est faibli brusquement ou se déclencher d’emblée. Cet accès
s’annonce par des troubles divers, comme la grande fatigue, la sensation
anormale et durable de froid, troubles nerveux et respiratoires avec anémie et déshydrations,
hallucination et troubles de la conscience. Les crises répétées provoquent une
anémie sévère et mortelle. Les enfants sont plus vulnérables aux crises d’accès
pernicieux. Il existe trois formes principales de l’accès pernicieux.
L’atteinte cérébrale:
Se caractérise par des températures
élevées et variables, un refroidissement périodique, une alternance d’excitation
et de torpeur, un coma avec des difficultés respiratoires, un foie gros et des
urines rares.
La forme algique:
Le malade est déshydraté, anémié, pâle,
les yeux enfoncés, le pouls très rapide et la température se situe entre 34 et
36ºC.
L’atteinte viscérale:
Surtout chez les petits enfants, le
paludisme viscérale est évolutif à cause d'insuffisant développement de
leur système immunitaire contre le plasmodium falciparum, de non traitement
lorsqu’ils ont été réinfestés et la fragilisation, soit par des hépatites, des
intolérances alimentaires, soit par la sous nutrition ou la malnutrition. Il
est noté dans ces cas une grande fatigue, une rate très volumineuse, un foie
très gros, une forte anémie avec la face terreuse, les muqueuses décolorées, un
essoufflement rapide et des difficultés à respirer.
Le paludisme chronique:
C’est
une conséquence des réinfestations fréquentes des malades. Ce cas est associe
avec l’anémie, un gros foie et une grosse rate à de la fièvre. Le paludisme est
parfois responsable d’atteintes rénales. Les anophèles sont vecteurs et les
causes des filaires lymphatiques et de certaines encéphalites à virus.
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