Il est plutôt envisageable de s’attaquer aux parasites injectés par le moustique;
Nouveaux espoirs de médicine moderne
Les remèdes classiques:
Consistent le traitement par la quinine, la chloroquine ou Nivaquine, voir ainsi la cure naturelle de paludisme.La quinine:
Provient de l’écorce du
quinquina, c’est un arbre originaire de la Cordillère des Andes. La quinine a
été depuis longtemps le remède médical du paludisme le plus important. Mais les
trois prises journalières obligatoirement étaient pénibles et jugés trop astreignantes.
Depuis cinquante d’années elle est presque remplacée par des molécules de
synthèse.
La chloroquine ou Nivaquine:
Une prise journalière
donne la même protection que la quinine. L’accès intermittent ordinaire est
traité pendant cinq jours à forte dose et durant quelques semaines à dose
faible. Mais malheureusement, on a signalé des conséquences graves, néfastes et
à des doses élevés et risques de coma.
D’autres médicaments:
L’Ammodiaquine ou
Flavoquine, le Fansidar, le Quinimax, l’Arcequinoforme et les antifoliques
comme Paludrine, Daraprim, sont risquées ainsi. La Flavoquine disponible dans
les pharmacies et surtout dans les marchés Africains est parfois abusivement
utilisés en automédication.
Des remèdes aléatoires:
La pseudo-efficacité
préventive ou curative de ces médicaments crée une dépendance dangereuse, car
il faut les prendre régulièrement. Donc c’est un remède aléatoire puisque, non seulement
les anophèles résistent aux insecticides, mais certaines souches de plasmodium
falciparum deviennent résistantes aux médicaments. La prise régulière de
Nivaquine n’est plus une garantie contre les accès pernicieux qu’elle prétend
combattre.
Les nouveaux espoirs de la médicine moderne:
Le vaccin, les extraits de l’Armoise et l’Alophandrine.Le vaccin:
Devant le relatif
dénuement de la médicine face au paludisme, les recherches scientifiques
travaillent à la mise au point d’un vaccin contre le paludisme. L’espoir se
fonde sur la présence d’anticorps au niveau des globules rouges dans le sang
des porteurs. Mais vacciner contre des parasites dont les formes varient selon
les stades de leur développement parait une tache difficile et ardue. Il est envisageable
plutôt, de s’attaquer aux parasites injectés par le moustique dans le sang qui vont
coloniser le foie.
L’Artemisia annua:
La médicine chinoise a
réussi à isoler à partir de l’armoise, une substance cristalline, l’artemisine,
aussi puissante que la quinine, d’action plus rapide et non toxique. Son efficacité
s’exerce contre les parasites paludéens qui résistent aux médicaments
existants. Ce produit serait une véritable merveille dans la lutte contre le
plasmodium falciparum.
L’Alophandrine:
Médicament mis au
point par un laboratoire américain et commercialisé depuis un peu du temps, en
Afrique surtout, sous le nom d’Alphan, l’Alophandrine se réussit dans les
crises aiguës, mais son prix est très élevé.
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